Interview with Jaoui and Bacri, who apparently chose June 18, a very hot day, as the journalist from auxartsetc notes, but they were nonetheless in great mood, to return to Switzerland and talk about Au Bout du conte (article in French):
par Sandrine Charlot Zinsli
De passage à Zurich le 18 juin pour présenter « Au bout du conte », leur dernier film écrit à quatre mains.
RENCONTRE AVEC AGNÈS JAOUI ET JEAN-PIERRE BACRI
Ils venaient de manger une Bratwurst avec un peu de rösti, et malgré la chaleur – ils avaient choisi le jour le plus chaud de juin (voire même de l’année !) pour venir à Zürich – ils semblaient encore frais et vifs.
SCZ : Votre film « Au bout du conte », n’aurait-il pas pu aussi s’appeler « il était plusieurs fois » ?
JPB : Si, c’est d’ailleurs l’un des titres auxquels on avait pensé. Il y avait également dans la liste, « il était une foi sans S », puisqu’il est question de croyances, de superstitions. Tous ces éléments irrationnels ponctuent notre vie quotidienne, qu’on le veuille ou non.
SCZ : Vous ne passez jamais sous une échelle ?
JPB : Si, je passe sous toutes les échelles et je ne suis pas superstitieux, mais il m’arrive de me faire avoir, et de penser par exemple que certaines rencontres sont des signes.
AJ : Tout à l’heure, dans le tram, il y avait une toute petite femme maigrissime, habillée tout en noir qui est venue vers nous. Et là, on a pensé que c’était un présage. On l’a même dit en rigolant, mais on l’a dit quand même. On est toujours très perméables à ces choses-là. Toujours prêts à se raccrocher à des signes..
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