Au bout du conte: il était une fois…
Par Marilyne Leterte
Cette phrase est venue à la fin de l’écriture, mais elle synthétise effectivement notre envie initiale : casser les idées reçues. Notamment l’idée qu’une femme doit rester avec le même homme pendant 50 ans sous peine d’être condamnée à l’enfer. Toutes les vies sont permises et ne pas faire comme nos grands-mères n’est pas un échec.
Les contes font-ils en sorte que nous nous berçons trop d’illusions?
Oui, mais je crois aussi qu’ils sont nécessaires, car nous avons besoin d’espoir. Moi, par exemple, je crois aux contes de fées. La preuve : je suis de gauche et, être de gauche, c’est penser qu’on peut contraindre le puissant à respecter le plus faible. C’est évidemment un leurre, mais ce leurre a permis à la société d’avancer et de progresser sur certaines questions. To read all the interview click here
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